Pas facile d’évoquer ses échecs face à un recruteur… Pourtant, ça peut jouer en votre faveur. Voici 3 exemples de plantage que vous avez intérêt à mentionner. On vous dit comment à travers cet article.
« Parler brièvement d’un projet qui n’a pas abouti, c’est faire preuve d’une certaine humilité. C’est la preuve que le candidat est conscient des axes d’amélioration à travailler. « Mais évidemment, pas question de faire un monologue sur un échec pendant l’entretien ! » prévient-elle.
L’exemple : « Un candidat a un jour expliqué qu’il avait créé sa petite entreprise de transport mais, ayant mal ficelé son business plan, il a dû cesser son activité au bout de deux ans. Il a reconnu qu’il avait davantage le profil d’un salarié que l’âme d’un entrepreneur. Son honnêteté et sa transparence ont été payantes. Il a été embauché »
Évoquer une mission écourtée ou une période d’essai non validée instaure un « climat de confiance et de transparence ». « Cela permet aussi au recruteur d’apprécier les facultés de résilience du candidat : comment il s’est servi de cet échec pour rebondir, en interne, ou en externe ; quelles leçons il en a tiré par la suite »
Mentionner une faute d’aiguillage, un mauvais choix d’orientation, le fait d’avoir accepté un poste en décalage avec sa formation ou d’avoir fait un choix professionnel en désaccord avec ses ambitions profondes, par exemple, permet d’apprécier votre faculté à vous remettre en cause. « Nous cherchons à savoir quels enseignements le candidats tire de ses échecs » .